18659610 Jeudi soir je suis allé au cinéma pour voir Babel, un film de Alejandro Gonzalez Inarritu, le troisième d'une trilogie faisant suite à Amour de chiennes et 21 grammes.

L'histoire du film : Une touriste américaine se fait tirer dessus, de jeunes marocains s'amusent avec une arme, une jeune japonaise cherche désespérément de l'affection et une nounou mexicaine retourne dans son pays pour assister au mariage de son fils.

Voilà l'un des plus beau films que j'ai vus cette année. J'ai été imprressionné par la difficulté de communication entre les hommes à cause des langues étrangères, d'où le titre Babel. Quatre histoires qui parlent des difficultés de communication entre les hommes. Au travers de quatre histoires apparemment sans aucun liens on voit comment les hommes ne s'écoute plus, ne se comprennent plus, le film nous démontre comment un simple événement peut intéragir sur autant de gens aussi distants soient-ils.

Alejandro Gonzalez Inarritu a une façon particulière que nous faire ressentir les émotions des personnages, ce qui rend ses films très intenses.

Après avoir vu Babel, la curiosité m'a poussé à louer des deux autres films Amour de chiennes et 21 grammes, que je me suis «tapé» en quelques heures. Le premier, Amour de chiennes, je l'avais vu il y a quesques mois, mais 21 grammes, je ne l'avais pas vu. Dans les deux cas, même intensité et mête style : un événement qui intéragit sur différentes personnes qui ignorent tout l'une de l'autre.

Des films dont certaines scènes hantent nos pensées plusieurs heurent après les avoir vues.

Babel

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